
LES FLEURS DU MAL
ALLÉGORIE DU POUVOIR FÉMININ
« Les Fleurs du Mal » est à l’origine un recueil de poèmes écrit au XIXème siècle par Charles Baudelaire. Le narrateur est à la recherche d’un absolu révélé au travers de la femme idéalisée. Ne pouvant l’atteindre, il sombre dans la mélancolie. Dans le monde baudelairien la femme apparaît à la fois comme un être divin et une dangereuse créature. Ce paradoxe dévoile toutes ses subtilités qui nourrissent les fantasmes les plus doux comme les plus vertigineux.
Dans la même lignée, inspiré de poèmes romantiques, Chatila s’est imprégné de l’idéal féminin dans la poésie pour donner vie à des joyaux qui l’honorent.
L’ardeur des émotions engendrées, de l’exaltation à la peine, décrite à travers des écrits passionnés, sert de toile de fond pour créer des parures exceptionnelles. Les pierres sélectionnées avec soin et les couleurs qui peignent cette collection ont été choisies pour être l’allégorie des symboliques universelles qui les animent.
Ainsi, les bijoux de la collection Les Fleurs du Mal sont un hymne au pouvoir féminin. Ils évoquent la manière dont chaque femme peut se sentir tout à la fois belle, forte et adorée sous le regard admiratif de l’homme amoureux.
COLLECTION ÈVE

L’aube apparait. Nous sommes à la naissance du jour. La femme est divine. Elle est douce, délicate, pure. Les tons sont clairs et transparents.
Elle fleurit à travers un jardin fertile et sa générosité atteint son paroxysme dans un élan d’amour absolu, celui qui donne la vie. Les couleurs sont une ode à la nature.
Inspirée du recueil de poèmes « La légende des siècles », la collection Ève est un hommage à la femme mère.
Le soleil est aux zéniths. Les couleurs sont intenses.
La femme est impératrice.
Elle est vive, lumineuse.
Elle nous foudroie par son charme. Elle fascine, elle transcende.
« Puisque j’ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine » de Victor Hugo décrit parfaitement la fièvre de l’homme auquel la femme solaire a offert sa préférence.
COLLECTION CIRCÉ

Les tons sont crépusculaires. Nous goûtons le pouvoir de la nuit. Les rouges sombres, les oranges sanguines et les violets sont à l’honneur.
La femme est enchanteresse. Elle ravive la violence des émotions, rendant l’être fou de désir et esclave de son pouvoir.
« Je respire où tu palpites » décrit parfaitement les enivrements et les tourments de celui qui a succombé à son charme.
COLLECTION DAPHNÉ

La nuit est tombée, le firmament s’illumine. Le bleu sombre s’habille d’une multitude de touches cristallines.
La femme est un idéal inaccessible.
Sa pudeur distante et sa grâce subliment sa beauté́ mais cette étoile allume des rêves utopiques qui engloutissent le cœur d’hommes éperdus dont seul le regard peut la caresser.
« La Beauté », poème issu du fameux recueil de Charles Baudelaire, souligne la toute-puissance du charme féminin.
COLLECTION BELLADONA

Les ténèbres sont presque abyssales. Quelques lueurs s’esquissent.
La voute céleste vacille entre abîme et aurore.
A son image, la femme fatale, à l’égal ange et démon, porte en son sein le pouvoir de faire sombrer ou renaître un homme.
Charles Baudelaire, dans son poème « Hymne à la beauté », vénère cette somptueuse contradiction qui donne vie à un charme quasi surnaturel.
Pour sublimer ce paradoxe, les joyaux Chatila jouent de teintes extrêmes. Des couleurs claires et profondes s’unissent dans un jeu de dégradés et d’oppositions.
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